Haben Sie eine Frage oder ein Anliegen?
Wir unterstützen Sie sehr gerne. Kontaktieren Sie uns über unser Kontaktformular. Wie nehmen gerne so schnell wie möglich Kontakt mit Ihnen auf.
Le service de médecine de la reproduction et d'endocrinologie gynécologique (RME) de la clinique gynécologique vous propose un conseil, une évaluation et un traitement complets dans les domaines suivants
Pour nous, vous êtes au centre de notre engagement quotidien : l'objectif principal est de prendre en charge toutes les patientes et tous les patients à votre plus grande satisfaction. Notre équipe hautement qualifiée offre un suivi et un traitement individuels répondant aux normes médicales les plus élevées. Nos traitements sont toujours adaptés aux dernières découvertes scientifiques et soumis à des directives éthiques strictes.
Nous vous recommandons de prendre contact avec notre formulaire de contact.
Haben Sie eine Frage oder ein Anliegen?
Wir unterstützen Sie sehr gerne. Kontaktieren Sie uns über unser Kontaktformular. Wie nehmen gerne so schnell wie möglich Kontakt mit Ihnen auf.
Adresse
Hôpital universitaire de Bâle
Médecine de la reproduction et endocrinologie gynécologique (RME)
134, rue des Vosges
4031 Bâle
Contact
Via le formulaire de contact
ou
Tél. : +41 61 265 93 37
Adresse électronique : reproendo@usb.ch
Disponibilité téléphonique
Lundi/mardi/mercredi et vendredi
7.30 - 12.00 heures et 13.30 - 16.00 heures
Jeudi
7.30 - 12.00 heures
Arrivée en tram/bus
Depuis la gare CFF
Depuis la gare badoise de Bâle
Depuis l'EuroAirport
Arrivée en voiture
Notre institut est facilement accessible en voiture. Vous pouvez vous garer gratuitement dans le parking situé juste à côté de l'institut. Les places de parking se trouvent au 2e sous-sol. De là, un ascenseur vous conduit directement dans nos locaux. Accès depuis l'autoroute A2/A3
Désir d'enfant
En Europe occidentale, 8 à 15 % des couples sont concernés par l'infertilité involontaire. Par définition, cela signifie une grossesse en attente après 12 mois ou plus.
Malgré cette durée, il existe toujours une chance réaliste de grossesse spontanée. Cette probabilité diminue avec l'âge et la durée de l'absence involontaire d'enfant. Pour tomber enceinte par la suite, des mesures de soutien sont alors nécessaires.
Inscription et contact
La consultation de fertilité a lieu dans les locaux de la médecine de la reproduction et de l'endocrinologie gynécologique, 134 rue des Vosges.
Afin d'éviter des examens inutiles, nous vous prions d'apporter des copies des résultats d'examens antérieurs. Si possible, demandez à votre gynécologue un résumé des examens et traitements effectués jusqu'à présent.
En principe, les médecins de la consultation de fertilité se considèrent comme des remplaçants temporaires de votre gynécologue. Des appels téléphoniques occasionnels et un contact épistolaire régulier permettent de garantir le flux d'informations sur votre situation actuelle. En cas d'incertitude, vous pouvez ainsi toujours demander un deuxième avis.
Le réseau de la consultation de fertilité de l'hôpital universitaire permet également une prise en charge multidisciplinaire des problèmes particuliers d'infertilité non désirée. Des échanges professionnels réguliers ont lieu avec des spécialistes d'autres disciplines (génétique médicale, endocrinologie, urologie, infectiologie et spécialistes des maladies tumorales, etc.
Contact
Tél. +41 61 265 93 37
Courriel : reproendo@usb.ch
Diagnostic préimplantatoire
Par diagnostic préimplantatoire, on entend l'analyse génétique d'embryons avant leur transfert dans l'utérus en vue de détecter des altérations génétiques héréditaires ou des anomalies chromosomiques susceptibles d'entraîner des déficiences ou des maladies chez l'enfant.Un diagnostic préimplantatoire n'est possible que dans le cadre d'une reproduction assistée (ICSI) avec traitement de stimulation hormonale.
En principe, on distingue trois variantes différentes (PGT-M, PGT-A et PGT-SR), dont l'utilisation dépend de la problématique de l'analyse génétique concernée.
PGT-M (PGT for monogenetic disorders)
En Suisse, la loi révisée sur la procréation médicalement assistée autorise la réalisation d'un diagnostic préimplantatoire (PGT-M) dans les familles présentant des maladies héréditaires connues et génétiquement définies. Dans ce cas, seules les maladies génétiques graves qui ne peuvent pas être traitées autrement ou qui sont inacceptables et qui se déclarent au plus tard à l'âge de 50 ans de la personne concernée peuvent être diagnostiquées. Des exemples de telles maladies sont les dystrophies musculaires héréditaires, la mucoviscidose, la chorée de Huntington, la mutation BRCA (gène du cancer du sein) ainsi que l'ostéogenèse imparfaite.
PGT-SR (PGT pour réarrangements structuraux)
Il s'agit d'un PGT pour les familles qui présentent une anomalie chromosomique héréditaire connue. En règle générale, l'un des parents est porteur sain d'une translocation équilibrée qui, lors de la répartition des chromosomes dans les cellules germinales, entraîne un risque élevé d'embryons présentant une anomalie chromosomique structurelle non équilibrée. Une telle anomalie chromosomique entraîne alors un trouble du développement de l'embryon et/ou du fœtus/de l'enfant.
Pour prévenir les fausses couches et les malformations, il est possible de procéder de la même manière que pour le PGT-A.
PGT-A (PGT pour aneuploïdie)
Contrairement au PGT-M et au PGT-SR, qui sont utilisés exclusivement dans les familles présentant une maladie héréditaire connue et définie génétiquement, le PGT-A devrait plutôt être considéré comme une "mesure de médecine reproductive". Le PGT-A sert à tester la capacité de développement des embryons au stade du blastocyste et a pour but d'exclure les anomalies chromosomiques numériques ou de structure grossière dans l'enveloppe extérieure du blastocyste. La possibilité de réaliser un PGT-A est offerte
Sur la base de l'expérience acquise dans la littérature médicale, la grossesse survient plus rapidement et permet d'éviter des boucles de traitement inutilement frustrantes ainsi que la survenue significativement plus rare de fausses couches.Comme décrit précédemment, un diagnostic préimplantatoire n'est possible que dans le cadre d'une insémination artificielle (ICSI) avec traitement de stimulation hormonale.
Dans les deux procédures susmentionnées, les ovules obtenus sont cultivés en laboratoire pendant cinq jours après une fécondation réussie. Trois à sept cellules de l'enveloppe extérieure du blastocyste sont ensuite prélevées sur les embryons se trouvant au stade de blastocyste à l'aide d'une aiguille de biopsie sous le microscope ; ces cellules sont utilisées pour une analyse génétique plus approfondie. Dans un premier temps, les blastocystes biopsiés ne sont pas transférés, mais cryoconservés. Une fois l'analyse génétique terminée quelques semaines plus tard et les résultats génétiques disponibles, certains embryons testés sont décongelés et transférés dans l'utérus dans le cadre d'un cycle menstruel stimulé de manière contrôlée.
Consultation d'andrologie
En cas d'infertilité non désirée au sein d'un couple, les deux partenaires sont examinés afin de déterminer les causes possibles. Chez l'homme, le diagnostic comprend, outre l'examen de l'éjaculation, un entretien confidentiel avec le médecin, un examen physique des testicules par ultrasons et une analyse sanguine.
Spermogramme (analyse de l'éjaculat)
Le spermogramme occupe une place centrale dans l'évaluation de la capacité de procréation masculine.
Dans le cadre de cet examen, le nombre, la mobilité et la forme des spermatozoïdes sont évalués dans l'éjaculation. Outre ces paramètres classiques, des caractéristiques supplémentaires peuvent être déterminées, par exemple le degré de fragmentation du matériel génétique dans le noyau des cellules du sperme (fragmentation de l'ADN).
Analyse de sang
Il n'est pas rare que des troubles hormonaux soient responsables d'une diminution de la capacité de procréation chez l'homme. Une prise de sang permet de déterminer la concentration de trois hormones sexuelles susceptibles d'influencer la capacité de procréation. Une première analyse permet de déterminer les concentrations des hormones LH, FSH et testostérone. En cas de doute, d'autres analyses peuvent être nécessaires.
Le prélèvement de l'échantillon de sang a toujours lieu le matin entre 7 et 10 heures, afin que les variations diurnes de la concentration de ces hormones ne donnent pas lieu à une erreur de diagnostic.
Entretien approfondi
Pour évaluer la capacité à procréer et en vue d'un éventuel traitement de la fertilité, un entretien approfondi est réalisé. L'entretien et l'examen ont trois objectifs
Examen physique
L'évaluation des organes génitaux masculins permet de tirer des conclusions sur la concordance entre les examens de laboratoire et l'incapacité réelle de l'homme à procréer.
Les particularités suivantes sont prises en compte : Le volume des testicules, la présence de varices à côté du testicule gauche (varicocèle), la forme du pénis, en particulier la localisation de l'urètre, la présence éventuelle de kystes dans le scrotum ou l'épididyme, ainsi que la distance entre la base arrière du scrotum et l'anus.
Examens génétiques
Des examens génétiques sont parfois nécessaires. Il s'agit notamment d'une analyse chromosomique, également appelée "caryotype", de la détermination d'éventuelles microdélétions du chromosome Y ou de la recherche de mutations dans le gène CFTR.
Biopsie testiculaire (TESE)
S'il n'y a pas ou très peu de spermatozoïdes dans l'éjaculation, il est possible, en collaboration avec le service d'urologie, de prélever des échantillons de tissu contenant des spermatozoïdes dans les testicules, qui seront utilisés pour le traitement de l'infertilité. Le prélèvement des échantillons de tissu dans les testicules s'effectue sous anesthésie générale.
Immédiatement après le prélèvement, les échantillons de tissu sont analysés dans le laboratoire d'andrologie pour vérifier la présence de spermatozoïdes, puis congelés. Un jour avant le prélèvement d'ovules prévu, un échantillon est décongelé et mis en culture pendant la nuit. Le jour de la ponction, les spermatozoïdes prélevés dans le tissu testiculaire peuvent être utilisés pour l'injection de spermatozoïdes.
Contact
Tél. : +41 61 265 93 63
Fax : +41 61 265 93 65
Disponibilité : lundi-vendredi 7h30-16h30
Consultation sur les hormones
Les menstruations sont soumises à un contrôle hormonal. Des glandes dites endocrines sécrètent certaines hormones dans le corps au moment opportun.
Bien que le cycle menstruel soit finement régulé par les hormones, des troubles apparaissent souvent et s'accompagnent de symptômes très différents. En endocrinologie gynécologique, nous sommes spécialisés dans l'examen des maladies hormonales de la femme, le diagnostic des causes des troubles et la mise en place d'un traitement approprié.
Troubles du cycle menstruel
Des troubles de la régularité des règles peuvent être le signe d'une maladie. Des changements dans l'intensité des saignements menstruels peuvent également être un signe d'alerte pour une maladie. Un interrogatoire approfondi et des examens physiques par échographie et dosage hormonal sont utiles et généralement suffisants pour établir un diagnostic adapté. Pour les troubles plus rares, d'autres possibilités sont disponibles.
En outre, une approche multidisciplinaire est souvent importante pour le traitement des troubles des cycles menstruels, ce qui est garanti dans un hôpital universitaire.
Syndrome des OCP
Des troubles de la régularité des règles peuvent être le signe d'une maladie. Des changements dans l'intensité des saignements menstruels peuvent également être un signe d'alerte pour une maladie. Un interrogatoire approfondi et des examens physiques par échographie et dosage hormonal sont utiles et généralement suffisants pour établir un diagnostic adapté. Pour les troubles plus rares, d'autres possibilités sont disponibles.
En outre, une approche multidisciplinaire est souvent importante pour le traitement des troubles des cycles menstruels, ce qui est garanti dans un hôpital universitaire.
Ménopause
Parfois déjà avant la ménopause, mais au plus tard à partir de la ménopause, les ovaires de la femme ne produisent plus d'hormones sexuelles féminines (œstrogènes). L'absence d'œstrogènes provoque chez certaines femmes une baisse drastique de la qualité de vie et des performances, souvent accompagnée de symptômes extrêmement pénibles tels que bouffées de chaleur, troubles du sommeil et sautes d'humeur. Dans de rares cas, les femmes développent un rhumatisme des parties molles et d'autres une ostéoporose en raison d'une carence chronique en œstrogènes. Pour les effets de la ménopause, nous proposons des thérapies efficaces et peu risquées.
Ménopause précoce
La survenue d'une défaillance de la fonction ovarienne avant l'âge de 40 ans est désignée par le terme de "ménopause précoce" ou de "climatère précoce" et touche environ 1 % des femmes en âge de procréer. Dans cette situation, les chances d'avoir son propre enfant sont très faibles. La perte précoce de la capacité à produire des hormones dans l'ovaire représente en outre un risque à long terme pour la santé. C'est pourquoi il est important d'établir un diagnostic correct et d'assurer un suivi médical à long terme.
Il arrive parfois qu'une perte prématurée de la fonction ovarienne survienne à la suite d'un traitement médical, notamment après une chimiothérapie dans le cadre d'un traitement contre le cancer. Dans ce cas également, un bon suivi est recommandé, idéalement avant même le début du traitement anticancéreux.
Réserve de fécondité
De nombreux cancers peuvent aujourd'hui être guéris grâce à des médicaments de chimiothérapie et de radiothérapie très efficaces. Cependant, chez les femmes en âge de procréer, ces traitements peuvent avoir des effets néfastes sur le fonctionnement des ovaires.
Pour permettre aux patientes concernées de concevoir leur propre enfant après avoir surmonté un traitement contre le cancer, il existe différentes possibilités de préserver la fertilité.
Le choix d'une méthode appropriée dépend du début de la chimiothérapie ou de la radiothérapie. Le choix de la méthode la mieux adaptée à votre cas est décidé en étroite concertation avec l'oncologue traitant.
La guérison de la patiente est toujours la priorité. Nos médecins vous soutiendront de manière compétente dans cette situation difficile.
Réserve de procréation chez les patients masculins
Chez les patients masculins également, les traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie peuvent avoir des effets négatifs sur la fonction de production de spermatozoïdes dans les testicules. Pour conserver la possibilité de procréer après avoir surmonté un cancer, la constitution d'une réserve de spermatozoïdes avant un traitement anticancéreux fait aujourd'hui partie du traitement standard.
La réserve de procréation est généralement constituée par la remise de plusieurs échantillons de sperme qui, après avoir été préparés dans notre laboratoire d'andrologie, sont stockés dans de l'azote liquide froid. Dans certains cas, il est également possible de prélever et de congeler du tissu testiculaire.
Nos médecins, en collaboration avec votre oncologue traitant, vous apporteront un soutien compétent dans cette situation difficile.
Contact
41 61 265 93 37 (joignable du lundi au vendredi de 7h30 à 16h30)
Consulter en urgence par mail à :
reproendo@usb.ch
Congélation sociale
Le nombre et la qualité des ovules diminuent avec l'âge des femmes. C'est pourquoi, d'un point de vue biologique, il serait plus facile de tomber enceinte avant l'âge de 30 ans. Cependant, il est fréquent que les conditions de vie ne soient pas encore réunies à ce moment-là pour que le désir d'enfant se réalise. Afin d'offrir aux femmes qui ne peuvent ou ne veulent pas réaliser leur désir d'enfant à ce moment-là pour des raisons privées ou professionnelles une possibilité flexible de réaliser leur désir d'enfant, ce que l'on appelle la "congélation sociale" s'est établie depuis quelques années.
Il s'agit d'obtenir des ovules par un traitement de stimulation hormonale, similaire à un traitement de FIV, et de les congeler afin de pouvoir les utiliser ultérieurement pour réaliser son désir d'enfant.
Même si la congélation sociale semble être une alternative pleine d'espoir, certains points doivent être pris en considération. C'est pourquoi nous vous recommandons de prendre rendez-vous avec nos experts si vous envisagez de recourir à la congélation sociale.
Assistance psychologique
Le désir d'enfant inassouvi peut représenter une crise profonde pour les couples concernés. Des sentiments de surmenage, de tristesse, d'angoisse, de honte et de désespoir peuvent apparaître et avoir un impact négatif sur le couple.
Afin de soutenir au mieux nos patients dans cette situation difficile, notre institut propose, en complément du traitement médical, un suivi psychologique adapté aux besoins individuels de nos patients.
Dans le cadre d'entretiens individuels ou de couple, nous vous accompagnons et vous encadrons aussi bien dans le cadre d'un bilan unique qu'en cas de besoin de soutien à plus long terme.
Plus d'informations
Gynécologie & médecine du sport pour les athlètes féminines
Les femmes pratiquant un sport de compétition ou un sport de masse ont des exigences particulières en matière de santé. Les fluctuations hormonales, les changements de cycle, les questions de contraception, l'alimentation et la santé des os jouent un rôle décisif dans la performance, la régénération et le bien-être.
Dans notre consultation, nous proposons des conseils et un suivi spécialement adaptés aux sportives - de la puberté à la phase post-carrière active. Cela comprend entre autres :
Nous offrons un suivi spécialisé et des conseils personnalisés pour aider les athlètes à optimiser leur santé, leur performance et leur bien-être - pour le succès à l'entraînement et en compétition.
Direction
Dr. James Geiger
Oberarzt
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Interdisziplinärer Schwerpunkt Sport- und Bewegungsmedizin (SEMS)
Notre équipe
Direction
Dr. Manuel Fischer
Laborleiter
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Christina Kettner
Leitung Pflege RME & GAF
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie und Gynäkologisches Ambulatorium Frauenklinik
Florije Gashi
Teamleiterin Administration
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Médecin cadre
Chefs de clinique
Dr. Eva Maria Baumgartner-Sift
Oberärztin
gynäkologische Endokrinologie/Reproduktionsmedizin
Dr. Giuseppina De Napoli
Oberärztin
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Dr. Bettina Dühsler
Oberärztin
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Dr. Philipp Quaas
Oberarzt
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Laboratoire
Dr. Manuel Fischer
Laborleiter
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Isabelle Bienz
Embryologin
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Adeline Hirschler
Embryologin
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Soins
Andrea Baumgartner
Fachfrau Gesundheit
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Christina Kettner
Leitung Pflege RME & GAF
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie und Gynäkologisches Ambulatorium Frauenklinik
Evelyne Nagel
Pflegefachfrau
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Lorenza Tinelli
Dipl. Pflegefachfrau
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Stefanie Unrau
Fachfrau Gesundheit
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Responsable qualité
Adeline Hirschler
Embryologin
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Psychologues
Administration
Nüket Colak
Patientenadministration
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Florije Gashi
Teamleiterin Administration
Reproduktionsmedizin und gynäkologische Endokrinologie
Melissa Tanja Kissling
Administrative Mitarbeiterin
Gyn.Endokrinol./Reproduktionsmedizin
Vidéos de présentation : Questions et réponses sur le désir d'enfant
Désir d'enfant FAQ : Dr. Alexander Quaas
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. Ursula Gobrecht
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. Manuel Fischer
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. phil. Verena Ehrbar
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. Maddalena Masciocchi
Désir d'enfant FAQ : Dr. Alexander Quaas
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. Ursula Gobrecht
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. Manuel Fischer
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. phil. Verena Ehrbar
Semaine thématique Désir d'enfant FAQ : Dr. Maddalena Masciocchi